Chroniques siciliennes 2 : Syracuse
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Contient : bataille (12)(...) La sixième scène verra les PJ empêcher un sacrifice au dieu Baal, ce qui prouve que les Carthaginois soutiennent les Mamertins. La septième scène sera celle d'une grandebatailleet de la victoire des Syracusains contre les Mamertins. La huitième scène sera l'arrivée de Hiéron au camp militaire et sa prise de contrôle par les PJ. (...)
Neagis : les PJ pourront peut être profiter de la campagne militaire pour le tuer. Il est escorté en permanence par 10 germains. Cependant au coeur de labataille; tout peut arriver. En tout cas, si Neagis meurent avant la scène sept, l'expédition est stoppée et rentre à Syracuse. (...)
Makharès est un espion carthaginois qui a pour ordre de se retourner contre les Syracusains lors d'unebatailledécisive. Pour le confondre, il faut discuter avec ses archers pour comprendre que depuis 2 ans que la compagnie existe, ils ne se sont battus que contre des ennemis de Carthage (Egyptiens, Ibères, Romains), mais peu d'hommes ont fait se rapprochement (ils ne faut pas le dire d'emblée). Si les PJ le démasquent avant labataillede la scène 7, alors ils pourront avoir le soutient du nouveau commandant des frondeurs qui le rempalcera, sinon, l'unité d'Archers se retournera contre les Syracusains, lors de labataillefinale. Scène Cinq : Premier Affrontement. Pour les Gens de Guerre et de l'ombre : L'armée se met en marche et il lui faudra 15 jours pour arriver aux abords de Messine. (...)
Les prisonniers avoueront qu'ils ont un camp de 200 Mamertins à 2 km de là. Neagis enverra la cavalerie mercenaires les combattre. Pas besoin d'y envoyer les PJ, cette 1èrebatailleest un succès. Scène Six : L'Enfant de Baal. Pour tous les PJ : Depuis 3 semaines, les combats opposent les Mamertins et les Syracusains. (...)
Même au coeur d'un combat, le prêtre tentera de finir la cérémonie, il utilisera ses pouvoirs magiques. S'il a le temps de tuer tout le monde, alors les Mamertins disposeront d'un démon majeur pour labataillede la scène 8. Si les PJ parviennent à libérer la famille captive, Icare leur en sera reconnaissant. (...)
Si les PJ n'ont pas pu les sauver, ils peuvent apprendre les mêmes informations par un serviteurs en fuite, qu'il débusque quant ils rentrent au camp. Scène Sept : la GrandeBataille. Pour tous les PJ : Pour tous les commandants, ils devient clair que Messine est la prochaine cible, il faut donc que l'armée s'y rendent. (...)
Quant le combat s'engage des jets de psychologie, tactiques et stratégique montre que les décisions stratégiques de Neagis sont à l'inverse du bon sens. Ce dernier sabote délibérément labatailleet est retranché chez les archers qui tire sur les Syracusains. C'est la panique dans les rangs de l'armée. (...)
Les PJ et les commandants ralliés peuvent alors tenter de tuer Neagis. Tant que cela n'est pas fait, les Syracusains perdent. Labataillene peut être gagné qu'après la mort du général. Si Neagis n'est pas tué, les Syracusains et les Messiniens sont écrasés par les Mamertins, qui s'empare de la ville. (...)
Plus tard, lorsque Loiris sera mort, Neagis confirmera son alliance avec Carthage. Si Neagis est tué, alors les PJ peuvent renverser labatailleet vaincre les Mamertins, sauvant la ville de Messine du pillage. Scène Huit : le dénouement de la conspiration. (...)
Voici la réaction de chacun des commandants : Spartokos (reste 700 Hoplites) : si on ne l'a pas convaincu avant labataillede la traîtrise de Neagis, alors il sera fidèle à Loiris (il pensera que le général à agit seul). (...)Ce scénario a comme inspiration la série Rome. Je voulais qu'il intègre des intrigues politiques, du combat et aussi des scènes de la vie Antique méditerranéenne. Je voulais aussi faire une intrigue qui pouvait rassembler toute sorte de concept de personnage et non pas seulement des mercenaires, que je classe selon la typologie suivante : Les gens de pouvoir : il s'agit de sénateurs, patricien, voire hauts fonctionnaires et magistrats. Les gens de guerre : ce sont les militaires et les mercenaires ...